La douceur et la mort,
passent au-delà des miracles

Je craque et je meurs
je renais à nouveau
Bandes de braises fines le soir
Feu joyeux le matin

Dans la transparence vertigineuse
J’inaugure mes pas dans le vide

Je traverse mon propre reflet
et passe la porte
Oh la grande pièce sans murs !
De blanc et de vitres épaisses
Je traverse et je tords
le peu qu’il me reste
en signe d’absolution
Baguette de métal

Je vis et je revis sans cesse…
Je suis
une ample respiration…
de plusieurs siècles

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