A l’ombre des cerisiers en fleurs
Je me meurs Je me meurs
Vivement l’été
Que je réagisse à tout ça
Je suis sibylline, je suis coquine
Assise en tailleur dans un univers de chaises
J’ouvre les yeux, rieurs je regarde
Et je reçois une pluie de sourires en retour
Innocente et pleine
J’offre la bonté qui déborde
Et respire quand quelqu’un s’en saisit